L'autre matin, je sors du tunnel qui coupe le rond point de l'entrée du TCR et je vois ce magnifique lever de soleil dans la rosée fraîche du mois d'octobre.
Ahmed, que l'on surnomme comme tout le monde Chalef (ce qui est un peu le surnom générique), c'est le gros play-boy. Toujours un duvet dans le coffre au cas où il pechoterait une metisse de peau en essayant un costard au Celio de Belle Epine et qu'il l'inviterait à manger un Mc Do 4 heures et puis dans sa voiture jusqu'au lendemain matin...
Un endroit magnifique propice aux dessins... mais comme je le disais dans un précédent post, les circonstances n'étaient pas les bonnes. L'occasion pour moi de rendre hommage à mon cousin parti (vraiment) trop vite.
Je parle bien d'un berger et non de Gerhard Berger qui même s'il n'est plus pilote de F1 conduit encore des voitures mieux que ça...
Quand on croise le berger qui rentre avec son troupeau de brebiou, on se rappelle que oui, ca existe encore... Vu de Paris, on penserait que la feta pousse sur des salakissiers, et que les bergers sont des play boys philosophes qui serrent des bombes même avec une haleine au Lou Perac...
Un ciel dégagé vient peu à peu eclairer les étroites rue du centre de Pau. C'est beau mais c'est loin, comme dirait un ami à moi... Et surtout on aurait préféré venir dans d'autres circonstances.
Un petit crobar de la voiture première classe dans laquelle nous étions au retour de notre week end de degustation à Cormoranche sur Saone.
Pour rester dans le monde de l'art cheap, je n'ai pu m'empêcher de lâcher mon petit filtre "grain photo"...
On connait l'histoire du malentendu du rendez vous où l'heure indiquée donnait l'heure du départ de chez soi et non l'heure au point de rendez vous... Bon, je ne citerai pas de nom, pour ne vexer personne, mais ça m'a donné l'occasion de faire le dessin du dimanche.
Mes amis du Club Orlandos, eux, aiment. Donc moi je les dessine quand ils jouent. Et comme d'habitude, ça ne ressemble pas... 
